Toutes les informations concernant Curiosités de l' île de l'île de Saint Barthélemy

Domaine Félicité

Découvrez deux siècles d’une riche histoire, lors d’une visite guidée personnalisée, proposée par vos hôtes,
 
 Arlette, son frère Alain Magras, ainsi que leur équipe. Au fil de la visite, vous serez plongés dans le passé depuis l’époque suédoise ; chaque pièce regorge d’archives et d’objets anciens datant de traditions ancestrales et du patrimoine de St Barthélemy. 
 
Arlette Magras, grâce à son travail assidu et minutieux de recherche, vous commentera une rétrospective de l’histoire de l’île et de sa famille. 
 
Puis, vous aurez le plaisir de déambuler dans un magnifique jardin tropical, créé par Alain, où vous pourrez admirer des plantes aromatiques, médicinales et ornementales originaires de l’île. 
 
Une pause vous invitera à la rêverie près des petites cascades, au milieu d’un cirque de rochers et de ruines de l’époque suédoise. Sans oublier la petite boutique où regorgent des créations tirées de la nature et des confitures maison. 
 

Hôtel de la Collectivité

Inauguré en janvier 2002, l’hôtel de ville devient l’hôtel de la collectivité en juillet 2007. Saint- Barthélemy est transformé en COM par la loi organique du 21 février 2007 sous le nom de “Collectivité de Saint-Barthélemy”.
Profitez de votre promenade pour admirer les oeuvres en bronze (“Le Carnaval des Animaux” ) de Bjorn Okholm Skaarup, artiste danois, dont le talent et l’humour
plaisent autant aux adultes qu’aux enfants.

La Maison Dinzey

(le Brigantin)
Cette maison construire entre 1822 et 1860, est l’une des rares rescapées du grand incendie du 2 mars 1852. Elle est en très bon état, à l’intérieur comme à l’extérieur, grâce à une restauration soignée entreprise par son propriétaire actuel qui est aussi Consul Honoraire de Suède. Cette maison est connue aussi sous le nom du “Brigantin”
(restaurant dans les années 1980).

La Maison du Gouverneur (Ancienne Mairie)

Cette maison construite vers 1796/1799, a d’abord appartenu à un particulier Daniel Öström, et ce n’est qu’en 1816 qu’elle est devient officiellement, Maison des douanes. En 1861 elle est transformée et le gouverneur Carl Ulrich y emménage. Lorsque St- Barthélemy est restituée à la France, cette maison devient propriété de l’Etat
Français. Jusqu’en 2001, elle fait office d’Hôtel de Ville jusqu’à la nouvelle construction, près du Wall House de l’autre côté du port.
Cette bâtisse est inscrite à l’inventaire des monuments historiques.

La Maison du Juge

Cette maison a été construite vers 1786 pour le juge de l’île. En 1805,
la Compagnie Suédoise des Indes Occidentales cède la maison au gouvernement suédois. En 1833 le poste de juge est supprimé et la maison se dégrade. Elle est restaurée et devient le domicile du gouverneur. Plus tard, elle est vendue aux enchères au maître de port, qui la revend au gouvernement français lorsque l’île devient française en 1878. Aujourd’hui c’est une maison de particulier.

La Maison du Major de la ville

Cette maison typique de commerçant des années 1780, a été reconstruite en 2006 à l’identique. Destinée à l’origine au Major de la ville, responsable de la garnison et de la police, la maison subit plusieurs dommages pendant le cyclone de 1837, mais elle est restaurée et sert temporairement de bâtiment administratif, puis de bureaux du gouverneur. C’est dans cette maison que, le 16 mars 1878, l’acte de rétrocession de St-Barth à la France fut signé. Elle
servit aussi successivement d’école, de tribunal et de caserne de sapeurs pompiers au cours du siècle passé. 

La Maison en brique

Cette maison a été construite en 1841 pour un riche propriétaire.
Le balcon à l’étage est le plus élégant, c’est là que vivaient le
propriétaire et sa famille. Le rez-de-chaussée est utilisé tour à tour pour des commerces ou comme espace de stockage. D’un point de vue historique, la pierre a toujours été un matériau plus coûteux que le bois. L’habillage des maisons en bois avec de la pierre est alors un moyen de montrer sa richesse et sa réussite.
Un détail intéressant à noter est l’élégante solution trouvée pour l’écoulement de l’eau de pluie par des gouttières camouflées dans une corniche qui couronne les façades de la maison.

L'Ancre

Posée sur un socle, cette ancre est lourde de 10 tonnes de fer.
Elle fut retrouvée en 1981, lorsqu’un remorqueur s’accrocha à elle par hasard. On ne sait si elle a été traînée depuis St-Thomas (Charlotte Amalie), cueillie sur le trajet par un porte-conteneurs ou si, comme le prétendent certaines recherches, elle proviendrait d’un bateau de guerre américain.

La Place de la Rétrocession

Cette place baptisée en août 2000, portait initialement le nom de “Place du Bicentenaire”. Elle rappelle un événement majeur de l’histoire de Saint-Barthélemy : le rétrocession de l’île à la France, après 3 années passées en tant que possession de la Couronne Suédoise.

La Place Vanadis

La place Vanadis a été inaugurée le 20 novembre 1996, et baptisée en hommage à la frégate Vanadis, dernier vaisseau de guerre suédois à quitter Saint-Barthélemy quand l’île a été rétrocédée à la France le 16 mars 1878. Le trident de Neptune sur la place a été offert par l’Ordre Suédois “Neptuni Orden” en l’honneur des marins et de l’amitié entre Saint-
Barthélemy et la Suède. Le but de l’Ordre est de soutenir les marins, leurs veuves et enfants.

L'Arawak

Symbole de “l’âme de St-Barth” ce guerrier armé d’une lance dans la main droite, protège son rocher. Avec le lambi, il fait entendre le cri de la nature. A ses pieds, un pélican, symbole de l’île, évoque le milieu de l’air et la survie par la pêche. L’iguane symbolise la terre ainsi que la sagesse et la patience dont nous avons tous besoin.
Tous trois se tiennent debout sur un simple, rocher qui vu du ciel, à la forme de St-Barthélemy.

La Sous-Préfecture

C’est au début des années 1800, que débute la construction de ce robuste bâtiment en pierre qui devait être la première école de l’île, mais qui sera utilisé comme lieu de rencontre pour des réunions, des fêtes et des galas. En 1819, le sous-sol devient la prison locale, sert quelquefois d’école ou de cantine scolaire au cours du siècle dernier. Depuis 1975 il abrite les services préfectoraux, siège de l’Etat Français à St-Barthélemy.

Le Clocher suédois

Comme beaucoup d’autres constructions de Gustavia, le clocher a été sérieusement endommagé par le cyclone du 2 août 1837, mais fut vite restauré. La cloche servait à appeler les fidèles au service religieux, prévenus auparavant par les tambours de la garnison.
Lors de sa restauration en 1931, le clocher a été équipé d’une
horloge dirigée vers la ville.

Le Fort Gustaf

Ce fort, construit sur les ruines d’un fort lui-même édifié par les français à la fin du 17e siècle, est le plus important de Gustavia pendant la période suédoise. On y trouvait une caserne, un poste de garde en pierre pour une douzaine d’hommes, une baraque en bois. Vers la fin de la période suédoise, la batterie tombe en ruine et de ce Fort Gustaf, ne subsiste aujourd’hui que la partie en pierre du corps de garde et les citernes à l’arrière de la station météo, quatre canons dont deux, au pied du phare, sont en fibre de verre, et deux autres prêtés par le musée maritime de Kariskrona (Suède)depuis décembre 2011, situés près de la station météo. Ces canons rappellent l’époque où Gustavia était une ville fortifiée. En 2004, la station météo est rebaptisée “Espace Météo Caraïbe” offrant un espace-musée météorologique. En 2015, la station météo devient “Espace Gustaf III”, dédié désormais au passé suédois et à l’amitié franco-suédoise.

Le Fort Karl

Vous voilà sur ses ruines. Le fort porte le nom du frère du roi Gustav III, le Duc Karl. Cette batterie de défense peu impressionnante, se composait de deux canons d’une charge de quatre livres de poudre. Une petite guérite abritait la milice de la ville en 1809, mais elle disparut rapidement. En 1844, on rapporte qu’il n’y avait ni mât pour le drapeau ni aucune autre construction. Il ne reste aujourd’hui que quelques pierres, vestiges d’une poudrière ainsi que des emplacements pavés. Sa rénovation date de 2011.

Le Fort Oscar

Le fort Oscar abritait autrefois les services d’écoute de la DGSE, le service de contre-espionnage français. Il accueille aujourd’hui la brigade de la gendarmerie. Le bâtiment est fermé au public, mais vous pourrez facilement l’observer, dans les hauteurs du port de Gustavia.

L'Eglise Anglicane

L’Eglise Anglicane fut construite de 1853 à 1855. C’est une église de petite taille, ses murs sont construits en pierre locale, excepté la façade face au port, qui est faite de pierres calcaires. Le toit, à l’origine couvert de bardeaux de bois (essentes) est désormais en tôle ondulée. Le petit clocher décoratif a gardé son toit de bardeaux comme autrefois.

L'Eglise Catholique

La construction de l’église catholique “Notre Dame de
l’Assomption” dura cinq années et s’acheva en 1829. Le style, d’influence espagnole est assez inhabituel pour un édifice religieux des Antilles Françaises. 
Grâce à une restauration très soignée en 2006, l’église a retrouvé sa beauté originelle. A côté se trouve un bâtiment qui abritait la salle paroissiale. Cédé à la Collectivité par l’évêché, c’est désormais le Théâtre du Paradis qui accueille des spectacles et des activités artistiques. 
De l’autre côté de la rue, ont été réalisées, en l’honneur de la soeur Armelle décédée en 1947, une chapelle funéraire, et une rotonde pour le Sacré Coeur en l’honneur des marins de Saint- Barthélemy. Sur la pente derrière l’église se trouvent le presbytère et le clocher. Ce dernier est construit à part,
sur la colline, afin d’éviter d’endommager l’église en cas de chute des clochers lors d’un cyclone, mais aussi pour que celles-ci soient entendues de partout dans la ville.

Le Phare de Gustavia

Que ce soit pour le bâtiment, ou pour la vue, cette promenade en haut de la colline vaut le détour !
Construit en 1961 et situé à côté du Fort Gustav, le Phare de Gustavia offre un point de vue exceptionnel.
Equipé maintenant d’un système électrique, sa lanterne d’origine est exposée au Musée de St-Barthélemy.

Le Port de Gustavia

Il y a encore quelques années, Gustavia n’était qu’une petite
bourgade composée de quelques maisons entourant la rade. A cette époque, seuls quelques bâtiments suédois en ruines, deux ou trois commerces et quelques maisons d’habitation y sont implantés.
Au début des années 80, pour faire face à l’afflux touristique,
la commune s’engage dans l’aménagement d’infrastructures
portuaires. Gustavia devient ainsi au fil des années une véritable ville où s’allient modernité et vestiges d’un passé tumultueux.

Le Presbytère Luthérien

Cette maison fut construite aux environs de 1790, pour le premier pasteur suédois de St-Barthélemy qui y vécut pendant un an.
Après le décès du Père Thorell, la maison fut louée à différentes personnes, dont le médecin et géomètre Samuel Fahlberg qui y séjourna jusqu’en 1803. Après avoir été endommagé par le cyclone du 21 septembre 1819, le presbytère fut restauré et devient une école
pour les filles et les garçons dans des classes séparées. Cette école était réservée aux enfants “de bonne famille”. L’ancien presbytère suédois est maintenant l’un des plus anciens restaurants de l’île. Il abrita les premiers bureaux de la Sous Préfecture en 1963.

Le Presbytère Suédois

Construit pour le premier pasteur suédois à la fin du XVIIIème siècle, ce presbytère fut ensuite la demeure du médecin et géomètre, Samuel Fahlberg. Après le cyclone de 1819, il devint une école mixte pour enfin devenir un restaurant.

Les Cases à vent

Datant du XVIIIème siècle, les « cases à vent » furent construites avec du corail, du bois de mancenillier et du bois de récupération.
Elles sont conçues pour limiter la prise au vent. C'était les demeures des personnes habitant “Au vent”.
Elles sont aujourd’hui réhabilitées et alimentées à l’énergie solaire.

Les Salines

Trois siècles d’exploitations du sel donnent à ce lieu un paysage particulier et magique ! Dès l’acquisition de l’île par l’Ordre de Malte en 1651, le sel devient une des activités économiques. Mais en 1972, la récolte s’arrête… Aujourd’hui, vous pouvez encore apercevoir des sculptures naturelles de sel, où les oiseaux d’eau douce viennent nicher. Mais la belle histoire ne s’arrête pas là ! Récemment, l’un des descendants des exploitants de sel a décidé de relancer la récolte, honorant ainsi la mémoire de sa famille. Il souhaite redonner vie à cette importante tradition locale. 

Le Wall House

Ce Bâtiment en pierre est l’un des plus grands bâtiments de Gustavia. Son histoire est confuse. Selon les cartes de la ville établies par Samuel Fahlberg, certains pensent qu’il servait de salle de spectacles et de divertissements, d’autres pensent que c’était un hôtel ou un lieu de conférences politiques ou simplement une boutique. A l’époque suédoise, ce bâtiment était connu sous le nom de “Maison Steinmetz”. On pouvait y louer des chambres chez l’habitant.
Quant à l’origine du nom “Wall House”, certains pensent qu’il fait référence aux murs de pierres qui étaient les seuls du bâtiment à rester en état malgré les années.
Aujourd’hui le rez-de-chaussée abrite le musée territorial. A l’étage se trouve la bibliothèque de la ville. Dans la cour subsiste la ruine d’un four à pain en pierre et en brique.

Tombe de Johnny Hallyday

 
Plus grande star du rock français Johnny Hallyday, de son vrai nom Jean-Philippe Smet, est décédé à l’âge de 74 ans le 6 décembre des suites d'un cancer.  Il a eu quatre enfants. David l'aîné qu'il a eu avec la chanteuse Sylvie Vartan, Laura Smet née de son union avec la comédienne Nathalie Baye et Jade et Joy adoptées pendant son dernier mariage avec Laeticia, avec laquelle il a partagé sa vie pendant 21 ans. 
Amoureux de l’ile de St Barth, où il vivait quelques mois de l’année, c’est au cimetière de Lorient que la star a souhaité être enterrée. 
Depuis lors, nombreux sont ses fidèles admirateurs  qui n’hésitent pas à faire le déplacement jusqu’à St Barth, pour venir se recueillir sur la tombe de leur idole.